Un ballon inconnu a été repéré dans le ciel au-dessus du Canada le samedi 11 février. À propos de ça signalé Le Premier ministre canadien Justin Trudeau sur son Twitter.
« J’ai ordonné l’abattage d’un objet non identifié qui a violé l’espace aérien canadien », a rapporté le chef du gouvernement.
Des avions canadiens et américains ont été soulevés dans les airs et un F-22 américain a réussi à abattre un objet au-dessus du Yukon grâce aux efforts du Commandement nord-américain, a ajouté le Premier ministre canadien.
Dans le contexte de ces événements, le responsable a eu une conversation téléphonique avec le président des États-Unis d’Amérique, Joe Biden.
« Les Forces armées canadiennes vont analyser l’épave de l’installation. Merci au NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord) pour la surveillance », a ajouté Trudeau.
Dans le même temps, le Pentagone a déclaré qu’un ballon similaire avait été détecté pour la première fois le 10 février au-dessus de l’Alaska. Le Federal Bureau of Investigation travaillera avec ses homologues canadiens pour examiner l’épave.
Rappelons que le 10 février, l’armée américaine a abattu un objet méconnaissable au-dessus de l’Alaska sur les instructions du président américain Joe Biden. On ne sait pas encore s’il s’agissait d’un ballon espion.
Comme indiqué, le 2 février, une balle chinoise a été détectée dans l’espace aérien américain. L’un des endroits où elle a été repérée était au-dessus du Montana. Il existe 150 mines de missiles balistiques intercontinentaux. Alors presque immédiatement, les experts et les analystes ont commencé à parler de la mission d’espionnage du ballon.
Comme indiqué, le général américain Mike Minihan a récemment envoyé une lettre officielle aux commandants les exhortant à se préparer à la guerre avec la Chine en 2025.
Soit dit en passant, en raison de cet incident, les États-Unis ont déjà imposé des sanctions à six entreprises chinoises.
Plus tôt, « Glavkom » a écrit que le ballon chinois abattu le 4 février par l’armée américaine près de la côte de la Caroline du Sud était équipé d’un équipement de renseignement radioélectronique et faisait également partie du programme de renseignement de la République populaire de Chine, qui couvre plus de 40 pays sur cinq continents.